Le Council on American-Islamic Relations (CAIR), organisation de gauche, conteste ainsi la récente décision d’interroger les habitants sur leur nationalité afin d’avoir une meilleure connaissance de la nature des besoins de la population.
 
CAIR fait partie du réseau de lobbies qui défendent les « Open Borders », les frontières ouvertes, et s’intéresse particulièrement aux Etats à forte population étrangère clandestine où des sièges d’élus sont en jeu puisque leur nombre est calculé en fonction des résisdents : sans distinction de situation légale pour le moment, mais demain en proportion du nombre d’électeurs légitimes.
 
CAIR n’a pas craint de se couvrir de ridicule en publiant un communiqué déclarant : « Voilà une nouvelle manœuvre politique de l’administration Trump pour imposer sa politique suprématiste blanche et pour faire régresser notre nation vers le faux “paradis blanc” des années 1950. »