Ils seront jugés sur leur capacité à promouvoir « l’inclusion et la diversité » au sein de leurs unités, et à en faire des environnements de travail « confortables » quels que soient l’origine sociale, le genre, l’ethnie ou l’orientation sexuelle des recrues.
C’est ce qu’a annoncé le ministère de la défense britannique, son porte-parole ayant précisé que « l’une des pires situations où l’on puisse trouver, c’est de faire parti d’une équipe militaire où l’on ne se sent pas accepté ».
Ces questions feront désormais partie des quelque dix points d’évaluation des résultats et de la progression des militaires : la participation aux exercices obligatoires en fait partie, par exemple, mais le nouvel objectif vient officiellement entériner l’objectif introduit en 2016 qui oblige les officiers, les adjudants et sous-officiers à « promouvoir une culture inclusive au sein de leur aire de responsabilité, en travaillant à augmenter la compréhension et l’engagement à travers l’éducation et l’initiative ».
Opération lavage de cerveau ?