Son initiative vise à créer des liens parmi des juges du monde entier de manière à leur permettre d’apprendre les uns des autres pour « renforcer l’intégrité » dans les tribunaux et les cours par la prévention de la corruption et de l’ingérence politique indue, aussi bien pour les nominations de magistrats que pour les décisions.
 
C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général délégué, Amina J. Mohammed, lors d’une rencontre à Vienne.
 
L’objectif est évident : lisser les différentes pratiques judiciaires sous l’égide du mondialisme. Le juge Elisabeth Lovrek, vice-présidente de la Cour suprême d’Autriche, l’a d’ailleurs laissé entendre : « Le réseau renforcera la coopération judiciaire entre cours et tribunaux des différentes traditions légales et culturelles. Dans un monde toujours plus globalisé, cela est plus important que jamais. »