S’inscrivant dans la logique de l’accord de Paris sur le climat adopté à la suite de la COP 21, le Pacte vise à mettre en place des lois supranationales pour réglementer le comportement des nations. Cette première étape a mis en place un groupe de travail chargé d’identifier les lacunes de la loi environnementale internationale et de déterminer s’il faut créer une nouvelle structure de régulation.
La création, jeudi, d’un cadre en vue de l’adoption future du Pacte global lui-même a obtenu 143 voix sur les 193 possibles correspondant au nombre de pays membres de l’ONU.
Manquaient les poids-lourds suivants : l’Iran, les Philippines, la Russie, la Syrie, la Turquie et les Etats-Unis ont voté contre la mesure ; d’autres pays étaient absents.