Barak et Michelle Obama viennent de signer avec Netflix, le grand marchand d’images diffusées en streaming, un contrat pour produire des séries. Barak s’est engagé à ne pas faire de politique, mais de la métapolitique : le glamour black au service des grandes causes mondialistes.
Quel est le montant du contrat qui lie Netflix à Michelle et Barak Obama ? Top secret. Mais il doit être mirobolant car Netflix, qui se présente comme l’avenir, les images diffusées en continu sur des écrans d’ordinateur et de télévision devant éliminer à terme le cinéma, dépense des sommes folles pour inciter les producteurs à s’adresser à lui. Ainsi a-t-il payé 300 millions de dollars sur cinq ans pour s’assurer la participation de Ryan Murphy (The People) et 100 millions pour Shonda Rhimes (Grey’s Anatomy). De l’autre côté, on sait le couple Obama avide de monnayer au plus cher sa réputation glamour : en mars 2017, ils ont conclu avec l’éditeur américain Random Penguin House, un contrat double de deux livres, un pour Michelle, un pour Barak, pour un total de 60 millions de dollars.
Michelle et Barak Obama monnayent leur glamour en streaming
Pour encaisser les royalties du glamour, Barak et Michelle ont créé main dans la main une société ad hoc, Higher Ground Productions. Ils sont pour l’instant ouvert à toute proposition, série dialoguée, télé-réalité, documentaires en films et séries, et même fiction long métrage : le tout est que cela passe en streaming chez Netflix. Barak Obama est enthousiaste et bienveillant à son habitude : « Nous espérons aider à s’affirmer les talents qui promeuvent davantage d’empathie et de compréhension entre les peuples ». Barak a promis de ne pas se servir de Netflix comme d’une tribune politique contre Trump, mais entend mettre le talent métapolitique au service de la compréhension entre les peuples. Michelle confirme : « Barak et moi avons toujours eu foi en la puissance du récit pour nous inspirer, nous faire réfléchir différemment sur le monde qui nous entoure et nous aider à ouvrir aux autres nos esprits et nos cœurs ». Comment dire plus simplement qu’en racontant aux enfants des histoires Netflix on oriente leur esprit vers le monde que l’on promeut ?
Netflix, cheval de Troie de la métapolitique mondialiste
Les époux Obama ont réfléchi avec Netflix aux thèmes qu’ils aborderont. Pour Michelle, l’alimentation mondiale, pour Barak, la sécurité sociale, l’immigration, le changement climatique. En somme les grandes causes humanitaires promues par les mondialistes épris de sociétés ouvertes. Ce contenu est conforme au contenant. Sa diffusion sera mondiale, ne connaîtra pas d’autre contrôle que celui des grands groupes qui produisent et diffusent, et celui très limité des consommateurs qui recevront à domicile leur ration de distraction ou d’information, les deux choses ne se distinguant d’ailleurs plus. C’est le gavage des cerveaux sans effort ni frein, à toute heure, dans un flux continu, ce que veut dire le mot anglais streaming. Une apothéose pour Barak Obama, ancien travailleur social à Chicago, disciple du trotskiste Alinski, qui termine dans le glamour et les dollars, comme Cohn Bendit a mis son nœud pap à Cannes : dans la société du spectacle, militants et milliardaires s’entendent. La Révolution mondialiste pète dans la soie dorée et se propage dans l’éther du streaming.