Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, s’est lancé dans des prophéties apocalyptiques dignes de Nostradamus en prédisant des catastrophes climatiques de toute sorte si l’Humanité ne se repent pas et ne change pas complètement de vie par une gigantesque réinitialisation économique et climatique. Quant à Volker Turk, le Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, il vient de déclarer que la planète « brûle ». Mieux : « Elle fond. Elle est inondée. Elle s’appauvrit. Elle sèche. Elle meurt. » L’humanité va vers un « avenir dystopique » si elle ne jugule pas le « changement climatique ».
Deux pontes de l’ONU rivalisent de catastrophes
Les grands de ce monde vaticinent, agitent des catastrophes à venir et retournent à la mentalité pré-logique pour gouverner le monde par la peur et le chaos. Turk agite des chiffres terrorisants dont il ne donne pas les sources : « Plus de 828 millions de personnes ont souffert de la faim en 2021, et le changement climatique en soumettra 80 millions de plus à la faim d’ici au milieu du siècle. » Il compte sur la COP28 à Dubaï en novembre pour en finir avec les énergies fossiles.
Des terreurs climatiques dignes de Nostradamus
Quant au Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, il a sonné « l’alerte rouge ». Il compare le réchauffement climatique à une « bombe à retardement » qui met « des milliards de personnes en danger immédiat » et contre laquelle il exige une bataille finale faute de quoi la « Nature détruira l’humanité par des inondations, la famine, le feu, la pestilence ». Toutes ces grandes catastrophes annoncées par Nostradamus dans ses fameux quatrains : l’ONU remet au goût du jour les grandes peurs irrationnelles, en se drapant dans l’autorité « scientifique » du GIEC.