La croissance de la population induite par l’arrivée massive de « réfugiés » a entraîné ce projet de la part du ministre des finances socialiste Magdalena Andersson qui a attiré l’attention sur le coût croissant des allocations et aides sociales.
La mesure concernerait d’abord ceux qui ont commencé à travailler à partir de 30 ans.
Un rapport du conseil des autorités locales soulignait la semaine dernière que les dépenses sociales allaient croître plus rapidement que les revenus de l’impôt en raison de l’augmentation rapide et importante de la population. Cela crée des besoins en infrastructures et pèse particulièrement lourd dans la mesure où de nombreux migrants dépendent entièrement les allocations publiques.
Le taux de chômage des Suédois tourne aujourd’hui aux alentours de 3,9 % ; il est de 21,8 % pour les résidents d’origine étrangère, toutes nationalités confondues.