Telle est la déclaration solennelle d’Antonio Guterres, le bouillant secrétaire général de l’ONU. L’homme était déjà connu pour ses cris d’alarmes frénétiques et récurrents sur le climat et sur la planète qui « brûle », « fond, sèche et meurt », trouvant des accents dignes de Nostradamus pour annoncer la fin du monde. Cette fois-ci, il a fait un peu fort cependant, car aucune mesure effectuée ne confirme, de près ni de loin, l’affirmation fracassante de Guterres. Quant aux modèles mathématiques censés les étayer, ils ont tous fait faillite.