C’est la première fois que l’armée russe revendique une action menée grâce à la coopération de membres de l’opposition. « Ces forces patriotiques, bien qu’elles aient combattu pendant quatre ans les forces gouvernementales, ont placé l’idée de préserver un Etat souverain et uni au-dessus de leurs ambitions politiques », a indiqué le général Andreï Kartapolov, chef des opérations en Syrie.
Depuis le début des frappes, assure-t-il, 52 camps d’entraînement terroristes, 155 dépôts de munitions et 40 ateliers de fabrication de mines ou de missiles ont été détruits, ce qui a contribué à désorganiser durablement l’organisation et l’approvisionnement des terroristes.