Dans une interview accordée à l’AFP, Bachar el Assad a confié qu’il pourrait être candidat à sa propre succession, taclant au passage la politique de l’Occident, et particulièrement celle de la France, l’accusant d’être un « pays vassal qui exécute la politique du Qatar et de l’Arabie saoudite ».
Une posture qu’il adopte alors qu’il est en passe de gagner la guerre sur le terrain, mais également médiatiquement alors que l’Occident a tout fait pendant trois ans pour le détruire.
Un défi avant les négociations de Genève, puisque que Bachar el Assad a affirmé qu’il ne prendrait aucune figure de l’opposition dans son gouvernement·