C’est la dernière petite phrase assassine (« punchline » en américain) de Donald Trump contre son vainqueur de 2020. L’ancien président demeure en forme et s’exprimait en réunion publique, laissant ses concurrents à la primaire de 2024 se déchirer sans participer aux débats en cours. Est-ce la bonne tactique ? En tout cas elle semble payer, puisqu’il survole les sondages : 61 % des sondés le choisiraient aujourd’hui contre 10 % à son plus proche rival Ron de Santis. Il pourrait donc bien être le représentant du Grand Old Party aux prochaines élections présidentielles américaines. Est-ce une bonne chose pour les Républicains ? Les politologues en disputent.