C’est un nouveau record, mis en avant par l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT). L’agence basée à Lisbonne surveille aujourd’hui 450 substances : la moitié d’entre elles sont apparues au cours des trois dernières années. Il s’agit le plus souvent de cathinones et de cannabinoïdes de synthèse qui ne sont pas visées par les législations contre les stupéfiants mais qui sont utilisés comme tels.