Patrick Boucheron s’est acquis quelque réputation d’historien pour s’en servir en tant qu’idéologue arc-en-ciel, propagandiste d’un monde « ouvert », opposé à la nation, à la tradition, à l’identité, à la réalité de la France. Le livre qui l’a fait connaître et qu’il a dirigé, Histoire internationale de la France, est un modèle de désinformation systématique. C’est Boucheron qui a inspiré, entre autres mauvaises actions médiatiques, la déplorable soirée d’ouverture des Jeux mise en scène par Thomas Jolly. Fort de ce CV, cet électeur tonitruant du NFP a voulu « placer » un spectacle militant au château de Chambord, haut lieu de l’histoire de France royale et catholique, avec son complice Mohamed El Khatib, pour un montant de deux millions d’euros. Mais Pierre Dubreuil, directeur du domaine national, n’a pas d’argent à dépenser, il en cherche au contraire. Exactement 37 millions pour la rénovation du château, dont 12 millions pour les travaux d’urgence dans l’aile François Ier qui menace ruine. Un appel aux dons a été lancé en septembre, appuyé d’une affiche de François premier pleurant une larme de sang, avec la légende : « Chambord a besoin de vous. » Dubreuil a envoyé au bain Boucheron et El Khatib, refusant d’être « otage d’un discours militant ». Les deux compères ont pleuré dans un communiqué commun contre cette atteinte à « la liberté d’expression et création des artistes », qui, bien sûr, « fait le jeu de l’extrême-droite ». Peut-être cela va-t-il engager El Khatib, électeur revendiqué de Mélenchon, à se retourner vers ses racines « au bled » qu’il affectionne, et Boucheron à s’occuper des villes italiennes à la Renaissance, pour lesquelles seules il est compétent.











