Selon le site de surveillance civique conservateur Media Research Center, c’est le nombre de fois où Google a interféré dans les élections américaines en seize ans. Dans un rapport de 19 pages le MRC constate que cela a « un effet croissant toujours plus préjudiciable à la démocratie » et affirme que Google « utilise sa puissance et ses ressources » pour répandre « ses valeurs de gauche ». Par exemple, pour assurer la victoire d’Obama en 2008, Google aurait faussé les primaires en censurant « les blogueurs soutenant Hillary Clinton ». Autre exemple, le 41e et le plus récent : Gemini de Google, la nouvelle Intelligence artificielle de Google, refuse de donner des réponses qui peuvent nuire à Joe Biden. Interrogé sur ces bizarreries, « Google a soit reconnu qu’il avait commis une erreur, soit réfuté les études critiques, mais jamais il n’a expliqué pourquoi ses interférences dans les élections vont toujours dans le même sens, en faveur de la gauche radicale ».