Pour réduire les risques de panique collective et de diffusion de rumeurs, Correa, dotés des pouvoirs d’exception à la faveur du réveil du dangereux volcan Cotopaxi a imposé une « censure préventive » des médias sur la question. Leurs publications seront contrôlées pendant 60 jours. Les médias en sont paraît-il « crispés », à l’heure où Correa voudrait contourner l’interdit constitutionnel pour briguer un quatrième mandat.