L’homme atteint du VIH pourrait être condamné à de la prison s’il ne respectait pas la décision judiciaire visant à l’empêcher de le transmettre à ses partenaires sexuels, comme il l’a déjà fait huit fois depuis la découverte de sa maladie en 2008.
Se défendant de toute criminalisation des pratiques sexuelles, la cour a affirmé qu’il s’agissait d’une mesure de protection de la santé publique.