Une vingtaine d’entre eux, vêtus de blanc, ont dénoncé la libéralisation de l’avortement au Chili pour les fœtus atteints d’anomalies comme l’« antichambre d’une politique d’avortement massif » des trisomiques. Le Chili connaît aujourd’hui l’un des taux de naissance de trisomiques les plus élevés au monde, avec 25 bébés sur 10.000 naissances vivantes. Plusieurs jeunes manifestants, engagés dans la vie active et dotés du droit de vote, ont demandé que leur vie soit respectée.