Dictature du genre au Royaume-Uni : menaces de suivi des services sociaux pour les parents refusant à leurs garçons de porter des jupes

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Les parents qui refusent à leur garçon de porter une jupe pour aller à l’école pourraient devoir être signalés aux services sociaux, a fait savoir un conseil local dans ses directives aux établissements scolaires sous sa compétence. La recommandation figure dans la « Boîte à outils pour l’inclusion trans dans les écoles » qui sera bientôt diffusée auprès des enseignants du conseil municipal de Brighton et Hove. La dictature de l’idéologie du genre s’accentue et s’accélère, à travers un détournement caractérisé de l’autorité parentale que les pouvoirs publics sont en mesure de soutenir et d’imposer.
 
Pas de jupe pour les garçons ? Voilà qui révélerait presque une maltraitance ou une difficulté d’éducation, tout comme les réticences parentales face à un enfant demandant à changer de prénom parce qu’il se pose des questions sur son identité de genre – gender questioning, pour reprendre l’abominable terme de la Novlangue imposée par le lobby de la normalisation de toutes les « orientations sexuelles ».
 
Les directives officielles des villes de Brighton et Hove soulignent que certains parents « peinent à accepter » l’identité de genre de leur enfant et que le délai pour qu’ils y parviennent peut s’avérer long.
 

Une municipalité du Royaume-Uni met en place la répression propre à la dictature du genre

 
« Si un établissement s’inquiète de manière significative à propos du bien-être ou de la sécurité de l’enfant par rapport à la manière dont ses parents ou tuteurs gèrent l’exploration de l’identité de genre de l’enfant, il peut être nécessaire et recommander de suivre des procédures de sauvegarde », explique le document.
 
Selon les directives officielles du Département de l’éducation du Royaume-Uni, tout enseignant ou membre du personnel qui s’inquiète de la situation d’un enfant doit le signaler au responsable de la « sauvegarde », avec prise de contact avec les services sociaux ou même alerte de la police, « si nécessaire ». Concrètement, cela ouvre la porte à une ingérence de ces services dans les familles concernées, voire, au pire des cas, au placement des mineurs dont les parents ne respecteraient pas les exigences de la dictature du genre.
 

Les parents refusant à leur garçon de porter une jupe bientôt signalés aux services sociaux

 
Le document de Brighton et Hove va d’ailleurs plus loin. Imaginant le scénario où les parents d’une jeune fille se plaindraient à l’école de devoir partager des vestiaires avec un garçon trans – « Ma fille ne veut pas qu’un garçon se change à côté d’elle, que se passera-t-il s’il regarde son corps ? » – les autorités municipales n’ont qu’une réponse : « Il ne serait pas approprié de tenir l’élève trans à l’écart des vestiaires. »
 
Bien au contraire, il appartient à l’école de renforcer « la formation et la sensibilisation » afin d’assurer que tous les élèves puissent comprendre qu’une fille transgenre est une « vraie fille ».
 
Et alors… le goulag pour ceux qui ne sont pas d’accord ?
 
A ce jour, on connaît déjà le cas d’une enseignante britannique accusée d’avoir « mal genré » un enfant à laquelle la police a fait savoir qu’elle s’était rendue coupable d’un « délit de haine ».
 

Jeanne Smits