Deux hommes et une femme ont été interpellés aux abords de la centrale en possession de deux drones ; les enquêteurs écartent « pour l’instant » leur responsabilité dans le survol d’autres centrales. Les gardés à vue sont inconnus de la justice et n’ont fait part d’aucune revendication. Les drones aperçus à une quinzaine de reprises près des centrales ces dernières semaines sont trop petits pour être détectables par les radars militaires ou civils, mais – selon Ségolène Royal – trop petits aussi pour causer des dégâts.