Les nouvelles normes de l’éducation à la santé ont été adoptées en toute discrétion le 25 mars dernier, sans même faire l’objet d’un communiqué. Les élèves devront notamment apprendre « l’identité de soi » qui les amène à exprimer le genre de multiples façons, ce gendre étant défini comme « une construction sociale établie sur des caractéristiques émotionnelles, comportementales et culturelles attachées au sexe biologique assigné à une personne ».
Dès l’équivalent du CE2 les élèves apprendront qu’il peut y avoir un sentiment subjectif du genre ; à la sortie du lycée ils sauront faire la distinction entre « le sexe biologique, l’expression du genre et l’orientation sexuelle ».
Interpellé sur le fait de savoir si le refus de la part d’un élève d’admettre que l’identité de genre est distincte du sexe biologique pouvait entraîner une mauvaise note, le porte-parole de l’office d’éducation de l’État indiqué que cela resterait à la discrétion de l’école ou du district scolaire.