Une simple prise de sang pourrait suffire à évaluer le risque de suicide grâce à un marqueur génétique : selon des chercheurs de John Hopkins, la comparaison du gène SKA2 chez des suicidés et des personnes morts pour d’autres raisons montre un niveau plus bas chez les premiers.
Une étude subséquente a montré des niveaux bas également chez des personnes vivantes ayant des tendances suicidaires.