La fluidité de genre est à la mode, et certains jeunes gens britanniques (iels, ielles, on ne sait pas très bien) en profitent pour changer au gré des saisons, filles au printemps, garçons en été, ou plutôt en hiver car les pantalons chauds y sont plus confortables alors que la belle saison est propice aux jupes. Ces saisonniers sont des artistes de l’existentialisme et se définissent comme saisonniers du genre. On doit les appeler pour leur faire plaisir (surtout, ne pas les OFFENSER) étéiens, ou automnogenres, ou printaniques. Au moins ne coûtent-ils pas des millions à la société comme les malades mentaux qui mettent leurs organes au bout de leur dysphorie de genre et se font opérer. Mais cela viendra peut-être, et la sécurité sociale doit prévoir des opérations chirurgicales réversibles qu’on pratiquerait quatre fois par an. A moins qu’on n’invite tous ces jeunes gens à vaquer tranquillement à leurs études sous peine de les en priver. Mais cela n’aura pas lieu car la folie (appelons les choses par leur nom) du genre est voulue et organisée par le système.