Quand Bill Gates et François Hollande se rencontrent, c’est pour parler des progrès de l’Afrique faits grâce aux investissements occidentaux, et de la taxe Tobin sur les transactions financières européennes…
Traduisons : de la nécessité de soumettre les sociétés africaines à la révolution de l’informatique et de la communication, qui entraînera leur bouleversement. Et de la nécessité de taxer les transactions financières.
Quand un mondialiste rencontre un autre mondialiste, c’est pour causer mondialisme. Et le gros homme d’affaires « enthousiaste » a félicité l’homme politique pour sa motivation.
Voilà qui en dit long sur leurs rapports·