Les hackers qui ont récupéré les noms, adresses et numéros d’assurés des patients d’un important réseau hospitalier américain, au printemps, opéraient depuis la Chine. Les attaques ont eu lieu entre le moment où la vulnérabilité de l’encryptage de sécurité OpenSSL a été rendue publique et celui où le « patch » correspondant a pu être appliqué aux logiciels utilisés par les hôpitaux.