Lors d’une cérémonie d’hommage, le premier ministre japonais a envoyé un message de condoléances à 1.180 militaires considérés à l’étranger comme criminels de guerre et condamnés à l’issue de la guerre, saluant les « martyrs qui ont donné leur vie pour la paix et la prospérité ».
Les Affaires étrangères chinoises ont immédiatement pris la mouche : « faire face à l’histoire et marquer une rupture nette avec le militarisme sont une base importante pour la reconstruction et le développement des relations du Japon avec ses voisins asiatiques ».