C’est le divorce à la mode charia, par lequel l’homme peut répudier définitivement sa femme en prononçant trois fois le mot « talaq ».
La demande est introduite notamment par Seema Parveen, 42 ans, mariée à 14 et divorcée à 16 après avoir été violemment battue par son mari alors qu’elle venait d’accoucher d’une fille au lieu d’un garçon.
Elle a subi trois divorces, aucun n’étant accompagné de compensations financières. Son troisième mari lui a annoncé son divorce par texto.
A ce jour, le Tribunal suprême a toujours considéré le talaq comme une pratique légale puisqu’il fait partie intégrante de l’islam.