La Phrase : « Les Italiens et les Hongrois n’abandonneront jamais leur pays à des étrangers »

 

Invité d’honneur d’une réunion de la Ligue du Nord dont le chef est l’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini, le Premier ministre hongrois Viktor Orban, après avoir prononcé cette phrase, a précisé : « Nous ne les abandonnerons ni aux bureaucrates de Bruxelles, ni aux puissances financières mondiales, ni aux migrants. » Cette réunion avait lieu alors que Salvini est poursuivi par la justice italienne pour avoir, étant ministre de l’Intérieur, interdit l’accès du territoire italien à des envahisseurs aidés par des ONG complices. Orban a ajouté : « Pour cela, il mériterait une médaille, plutôt qu’une procédure pénale. » La question est bien résumée là, si on se rapporte aux nouveaux péchés définis par le pape François, notamment celui qui concerne le refus des migrants : il semblerait qu’un nouveau droit et une nouvelle morale soient en train de s’opposer à la loi naturelle acceptée jusque-là, que le devoir national devienne un crime et un péché.