Un quart des jeunes en Californie sont « non conformes au genre » ? De quoi faire foisonner la confusion et augmenter leur nombre !

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Le journaliste Alex Newman commente, sur son blog de freedomproject.com, cette nouvelle étude publiée à la mi-décembre, selon laquelle plus d’un quart des jeunes, en Californie, serait « non conformes au genre »… Oui, la folie du genre prêchée dans les écoles gouvernementales à travers l’Amérique a un effet – il n’est pas bon. Et sous prétexte de défense et de protection, l’un des États les plus progressistes des États-Unis semble bien décidé à faire progresser ces terribles chiffres.
 

« Plus d’un jeune sur quatre en Californie exprime son genre d’une manière qui va à l’encontre des stéréotypes dominants » Bianca D.M. Wilson

 
C’était une étude du think thank l’Institut Williams, à l’UCLA School of Law, dédié à conduire des recherches indépendantes sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
 
Pour la première fois, l’enquête comportait une question pour les jeunes (de 12 à 17 ans) sur l’expression du genre. Les participants devaient répondre à la façon dont ils pensaient que leurs camarades de classe les percevaient, en termes d’apparence, de style, d’habillement, la façon dont ils marchaient ou parlaient ; les réponses allaient de « très féminin » à « très masculin », en passant par « principalement féminin », « tout aussi féminin et masculin », « majoritairement masculin ».
En fonction des réponses, les chercheurs ont identifié deux groupes de jeunes non conformes au genre : les « hautement non conformes au genre (GNC) » (les personnes d’un certain sexe qui se voient perçues en majorité de l’autre sexe), 6 %, et les « androgynes », 21 %. Soit 27 % de la totalité.
 

La détresse des non-conformes est due aux autres – pas à eux

 
Et évidemment, car l’étude est là pour ça, ses auteurs ont noté que les « non-conformes au genre » « étaient significativement plus susceptibles d’avoir présenté une détresse psychologique sévère au cours de l’année écoulée que les jeunes conformes au genre ». Ils ont également noté que les jeunes androgynes étaient près de deux fois plus susceptibles de se suicider que les jeunes conformes au genre.
 
Conclusion ? Il en faut plus – plus d’endoctrinement. La Californie a beau être déjà un État phare de la promotion du genre et de toute la doctrine LGBT à l’école (les enfants en apprennent les « droits » dès l’âge de 7/8 ans), le signe du mal-être de ces jeunes montre, pour eux, qu’il en faut encore plus.
 
Personne, évidemment, ne se pose la question de savoir si ce n’est pas cet endoctrinement permanent qui augmente la confusion (et même la crée)… La détresse ne doit pas être le résultat de cette confusion, mais le fruit amer de la difficulté de leur prise en compte dans la société : « La détresse psychologique accrue que nous voyons chez les jeunes non conformistes indique que nous devons continuer à éduquer les parents, les écoles et les communautés sur les besoins de santé mentale de ces jeunes et réduire les facteurs de risque connus, tels que l’intimidation et les préjugés ».
 

La confusion engendre la confusion

 
Tout cela montre que la folie du genre, de la normalisation de la confusion prêchée à tous vents commence à porter ses conséquences terribles : tous les chiffres sont en augmentation, le désastre s’étend. D’autant plus que la question de l’étude se basait sur l’unique perception extérieure sociale, ne disant mot des jeunes ressentant des difficultés sans les extérioriser…
 
Le processus est partout le même : on fait le constat d’une réalité (biaisée car produite en très grande majorité par la société et quasiment à chaque fois réversible comme l’affirment de nombreux pédiatres), on met en place une politique de prise en charge et de défense qui promeut cette difficulté psychologique pourtant temporaire, dont le nombre de victimes se met alors à croître inexorablement. La confusion engendre la confusion.
 
Alex Newman prend l’exemple de la Suède, où les écoles et les médias encouragent la théorie du genre : le nombre d’enfants se disant « transgenres » y double chaque année, et sont de plus en plus jeunes selon la pédopsychiatre suédoise Louise Frisén ; ce qui a pour effet hallucinant de renforcer le soutien gouvernemental aux « cliniques d’identité sexuelle » et aux chirurgies de « changement de sexe »…
 

« Une épidémie de confusion entre les sexes qui ruine des vies » Alex Newman

 
Encore une fois, rappelle Alex Newman cette « confusion », si elle est réelle, est surtout le fruit de cet endoctrinement éducatif, social et médiatique. « Inculquer à tous les enfants d’âge préscolaire le mensonge qu’ils pourraient être piégés dans le mauvais corps perturbe le fondement même du test de réalité d’un enfant », a déjà expliqué le Dr Michelle Cretella, présidente de l’American College of Pediatricians. « L’idéologie transgenre dans les écoles est un abus psychologique qui conduit souvent à la castration chimique, à la stérilisation et à la mutilation chirurgicale. Si ce n’est pas de la maltraitance des enfants, qu’est-ce que c’est ? » !
 
Mais tout continue. La série américaine culte des années 90, « Roseanne » réapparaîtra le 27 mars sur la chaîne américaine ABC, avec un des petits-enfants de la famille qui s’habille en fille toute la journée. La créatrice du site TransKids.biz fait pire : elle aide les jeunes transgenres en vendant, nous apprend le Mirror le 28 décembre dernier, des pénis en silicone adaptés aux enfants de moins de 5 ans… !
 
Horreurs de la folie du monde moderne… dirigée contre les plus faibles.
 

Clémentine Jallais