Ni chèvres, ni choux, ni chien, ni chats, ni rats, ni cochons d’Inde ou d’ailleurs, la jeunesse chinoise, quand elle a du vague à l’âme, s’entoure de cailloux, qu’elle chouchoute, peut payer très cher, auxquels elle peint des yeux, une bouche, les maquillant et leur donnant des prénoms. Tout est bon sur la nef des fous. Nos chers petits ont bien eu leurs tamagochis.