Il faut sans doute faire la part des choses, vu la source. C’est un « donneur d’alerte » qui accuse sur Facebook des travailleurs volontaires de s’en donner à cœur joie, avec dans certains cas plusieurs partenaires par jour. Il s’agirait principalement de bénévoles femmes imposant des relations à des hommes, et d’hommes se « servant » parmi des prostituées du camp.
Vrai ? Faux ? L’affaire donne lieu aux habituels poncifs sur le racisme, le sexisme et le paternalisme dont les réfugiés seraient les victimes.
C’est en tout cas encore une occasion médiatique d’accuser l’Occident, et d’alimenter la haine à l’égard des chrétiens…