C’est l’ordre que semble donner indirectement la justice lorsqu’elle poursuit les vigiles qui avaient expulsés les Femen alors qu’elles profanaient Notre-Dame de Paris il y a presque un an jour pour jour.
Les extrémistes « féministes » quant à elles n’ont toujours pas la date de leur procès…
Ce qui signifie donc que les vigiles vont être jugés pour leur riposte avant même que ne soit jugé l’acte qui les a poussé à agir de la sorte.
A noter d’autre part que ces activistes qui refusent systématiquement toute féminité ne sont pas gênées d’aller se plaindre parce qu’on leur a tiré les cheveux… Il faudrait savoir !