Le gouvernement socialiste vient d’ajouter un amendement au projet de loi de finances rectificative effaçant la dette de 4 millions d’euros (plus les intérêts) contractée par le quotidien communiste sous prétexte que « L’Humanité ne peut faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l’Etat ». Motif : « ses résultats financiers sont très faibles (…) par conséquent il est nécessaire d’abandonner cette créance ». Moralité, pour faire survivre l’organe d’un parti politique, qui était déjà le plus subventionné sur la période 2009-2011 (0,48 euros par exemplaire), il ne reste plus qu’une solution : que le contribuable renfloue l’Humanité.