Vendredi, l’opéra de Sydney s’est éteint pendant un heure pour répondre à l’appel du WWF dans son opération « heure de la Terre ». Des actions analogues ont eu lieu dans d’autres capitales, dont Bangkok, Kuala Lumpur ou Djakarta.
Ce genre de happening planétaire contribue à la part populaire et symbolique de la propagande écologiste.
Le GIEC, lui, est chargé du côté prétendument sérieux et pseudo-scientifique. Selon le rapport qu’il vient de rendre, on pouvait il y a trente ans « endommager » la planète sans le savoir, mais on n’en a plus le droit puisqu’on dispose aujourd’hui de données sûres sur le climat.
C’est un mensonge, l’incidence de l’homme sur celui-ci étant contestée, et l’aggravation d’un éventuel réchauffement global étant nié par un rapport de l’ONU elle même. Mais le GIEC affirme aussi que s’occuper du changement climatique mène à changer l’économie de la planète, et, là, il révèle son objet véritable·