La Cour suprême des États-Unis a donné raison hier à des militants pro-vie qui avait fait appel à elle pour invalider la loi de l’État du Massachusetts qui prohibait toute manifestation dans une « zone tampon » de dix mètres autour de l’entrée, de la sortie des cliniques d’avortement.
La Cour a reconnu qu’elle était inconstitutionnelle, au motif du premier Amendement sur la liberté de parole.
Prier pour la protection des bébés à naître à la porte des avortoirs n’est pas un délit.