La fédération britannique des Girl Guides et Brownies (l’équivalent de nos louvettes) est toujours plus soumise à la pression de l’idéologie lgbt+. Elle vient d’imposer à ses membres un nouvel uniforme, dit « inclusif » afin de mieux accueillir les « transsexuels ». En dehors du conformisme pesant dont elle fait ainsi preuve, on peut se poser une question : si l’ambition des « trans » souffrant d’une « dysphorie de genre » est de s’identifier en fille, on voit mal en quoi un nouvel uniforme est nécessaire – au contraire, d’ailleurs, c’est plutôt un frein à la « transition de genre » recherchée. Mais la cohérence n’est pas la qualité première de l’idéologie du genre.