Une nouvelle étude publiée le 27 mars par le Bureau national de recherches économiques montre qu’entre 1990 et 2007, à chaque fois qu’un ou plusieurs robots industriels ont été introduits dans la main-d’œuvre, cela a entraîné l’élimination systématique de 6,2 emplois – soit jusqu’à 670.000 emplois manufacturiers.
Autre constatation : l’arrivée des robots a fait également diminuer les salaires des travailleurs, les faisant perdre entre 0,25 % et 0,50 %.
Des chiffres qui semblent faibles, mais qui sont évidemment voués à augmenter, la définition qu’utilisent les auteurs du robot étant relativement étroite et le développement du secteur affichant surtout une croissance conséquente : les scénarios de prévision oscillent entre un triplement et quadruplement de la gent robotique d’ici 2025.
De l’eau au moulin du revenu universel…