Maladie X : peur sur le monde avec l’OMS façon Marque jaune

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L’organisation mondiale de la santé (OMS) exploite la peur des pandémies pour soumettre les populations à ses recommandations. Avec la maladie X qui n’existe pas, un pas est franchi : c’est une fiction qui provoque l’épouvante, une simple initiale comme la dans la BD la Marque jaune.
 
La grande Peste de 1347 a tué un tiers de la population européenne, le choléra ravage encore certains pays tropicaux, la lèpre, maintenant curable, fait encore frissonner le monde, et la grippe espagnole a tué plus de monde après 1918 que la grande guerre elle-même. Depuis les sept plaies d’Egypte, les hommes ont une peur panique des pandémies, et l’OMS a beau jeu de jouer dessus pour imposer sa politique. Depuis quinze ans, le monde a tremblé grâce à elle devant la grippe AH1N1, le SRAS ou Ebola. Comme l’absence de peste se fait cruellement sentir, l’OMS invente des pandémies.
 

Les précédents de l’OMS pour susciter la peur dans le monde

 
C’est ce qui s’est passé pour la grippe AH1N1, le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), Ebola ou la grippe aviaire. Certaines de ces maladies ont un taux de mortalité élevé, mais jamais leur prévalence dans la population mondiale n’a été telle qu’on ait pu parler de pandémie. Les gouvernements ont battu le tam-tam des médias pour affoler les populations. On se souvient d’Obama déclarant la guerre à Ebola. Parfois, ils y trouvaient leur compte, ou celui de leurs amis de l’industrie pharmaceutique. On se souvient aussi de Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé, commandant en urgence, en juillet 2009, 94 millions de dose de vaccin contre le H1N1. La France ne plaisantait pas. C’est à peine si elle osait respirer, de peur d’attraper la grippe, on envisageait de fermer les aéroports. Ce fut une vraie crise d’hétérophobie virale. Heureusement les Français sont sceptiques. Seuls six millions s’étaient fait vacciner. Cette opération de propagande terroriste avait coûté 383 millions d’euros à l’Etat, selon la Cour des comptes.
 

La Maladie X nouvelle marque jaune : la peur de l’inconnu

 
Avec la Maladie X, l’OMS fait beaucoup plus fort. Un truc entièrement nouveau. Un coup de bluff planétaire que nul auteur de science-fiction n’avait imaginé. Elle répand la peur sur le monde avec une maladie qui n’existe pas encore. Une maladie qui n’existe pas, c’est inquiétant, comme tout ce qu’on ne connaît pas, encore plus si elle n’est désignée que par une initiale, X, le symbole même de l’inconnu. Les amateurs de BD belge se rappellent qu’Edgar P. Jacobs fit utiliser le procédé par son super Méchant, Olrik, qui couvrait les murs de Londres de grands M, la marque jaune, pour terroriser les populations londoniennes. Voilà de même la maladie X inscrite au plan d’action prioritaire de recherche et de développement contre les maladies de l’OMS, et le monde entier vit dans l’angoisse de la marque X. La pandémie virtuelle permet à l’OMS de nous terroriser, nous autres cochons de malades putatifs. Car nous sommes la cible, sinon d’un virus ou d’une bactérie qui n’existe pas, du moins de la campagne de l’OMS, et à travers elle des visées du mondialisme.
 

La marque de l’OMS : diriger le monde par la peur

 
Car c’est lui qui est derrière cette mauvaise comédie. Après la crise d’Ebola en janvier 2015, le directeur de l’OMS d’alors, Margaret Chan, exprimait le vœu général des institutions internationales et des dirigeants nationaux, en affirmant que « les états membres comprennent véritablement que le monde a bien besoin d’un mécanisme de défense collectif pour assurer la sécurité sanitaire globale ». En d’autres termes, pour faire face aux « surprises » que nous réservera toujours « le monde imprévisible des microbes », elle demandait une structure centralisée mondiale. La peur de la pandémie sert explicitement à faire avancer le gouvernement mondial. A l’époque, le représentant de l’Union européenne, le Belge Dirk Cuypers, avait renchéri, réclamant « une ligne de commandement » commune.
 

L’OMS se moque de la fièvre jaune, elle installe des procédures

 
L’OMS, en effet, se soucie peu de juguler les véritables grandes épidémies. Elle aurait, sinon, exigé le rétablissement du DDT, dont l’interdiction a permis la prolifération des moustiques dans certaines zones et a répandu en conséquence la fièvre jaune, causant des millions de morts. Elle recommanderait de limiter strictement les migrations d’Afrique vers l’Europe, qui ont pour effet d’y relancer la tuberculose. Le rôle de l’OMS, pour ce qui regarde la prétendue lutte contre les pandémies, c’est d’installer des procédures qui habituent le monde à marcher ensemble selon ses recommandations.
 

Précaution contre X : le monde de la peur

 
Elle manipule les esprits en ce sens grâce à la peur, et à la peur de l’inconnu. John-Arme Rottinger, directeur général du conseil norvégien de la recherche et conseiller scientifique à l’OMS a écrit dans le Telegraph que « l’histoire nous dit que la prochaine grande pandémie sera quelque chose de jamais vu », ce qui est la marque d’une grande habileté, car c’est à la fois une certitude, on n’a pas vu ce qu’on n’a pas vu, et une bonne manière de terroriser par le vague. Et cet excellent homme ajoute : « Nous voulons être sûrs d’être prêts, d’avoir des vaccins et des diagnostics qui pourront s’adapter. Nous voulons développer des systèmes prêts à l’emploi qui pourront traiter toutes sortes de maladies ». Notre confrère Europe 1 compare cette démarche à « une ville qui construirait des barrages en prévision d’une inondation ».
 

La stratégie du sapeur Camembert : soigner avant la maladie

 
L’image est mauvaise, car ici on ne connaît ni la place du fleuve ni l’ampleur des pluies, on est dans une posture de précaution sans fait avéré ni menace définie (complètement contradictoire, d’ailleurs, avec, par exemple, l’admission de populations énormes sans aucune précaution sanitaire). L’image qui vient plutôt à l’esprit est celle du capitaine des pompiers du Sapeur Camembert qui « essayait les pompes la veille des incendies ». On nage dans l’absurde, mais ce n’est pas grave, l’essentiel est de susciter la peur dans l’esprit des populations, afin de leur montrer ensuite que le système a tout prévu pour leur sécurité : ainsi le monde entier, frissonnant de crainte et de reconnaissance, se réfugiera-t-il dans les bras du mondialisme grâce à la propagande de l’OMS.
 

Pauline Mille