La « spiritualité » occulte et la manipulation des valeurs injectées dans les écoles par l’ONU par l’apprentissage social et émotionnel

manipulation ONU social émotionnel

 

Dans une vidéo publiée lundi sur The New American, le journaliste Alex Newman dénonce une nouvelle forme d’enseignement répandue dans les écoles du monde entier sous la pression de l’ONU en particulier : le « Social and emotional learning » : le SEL ou apprentissage social et émotionnel, appelé en France « compétences sociales et émotionnelles » ou encore, selon une déclinaison voisine très présente dans l’enseignement, « compétences psycho-sociales ». Il met en évidence les racines communistes, occultistes et New Age des inventeurs et propagateurs de cette forme de manipulation mentale qui vise la foi et les normes traditionnelles pour les remplacer par un état d’esprit propice à la mise en œuvre du « développement durable » au moyen de l’éducation, mais pas seulement : c’est une nouvelle spiritualité qui est prêchée, fondée sur la communication avec les esprits.

 

L’apprentissage social et émotionnel pour tous

C’est un sujet de fond qui mérite qu’on s’y attarde, d’où mon choix de vous proposer de très larges extraits traduits de cette vidéo-conférence d’Alex Newman qui s’appuie principalement sur les dires des promoteurs du SEL eux-mêmes. Il met en évidence la dimension proprement révolutionnaire de ces méthodes qui se cachent derrière des mots d’apparence positive comme « empathie », « compassion »…

C’est un système qui a des ramifications dans de nombreuses institutions internationales, à commencer par l’ONU et son organe du domaine éducatif, l’UNESCO, et un pouvoir et une emprise qu’on ne soupçonnerait pas sans aller y voir de plus près. – J.S.

 

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La « spiritualité » occulte et la manipulation des valeurs injectées dans les écoles par l’ONU

 

J’aimerais analyser un certain nombre de choses pour vous montrer comment elles sont toutes liées entre elles. Vous avez peut-être entendu parler ces dernières années de l’apprentissage social et émotionnel [en France, « Compétences sociales et émotionnelles »].

C’est un terme qui est devenu hélas omniprésent dans le monde de l’éducation. Il ne s’agit pas d’un phénomène exclusivement américain. Il existe en fait partout dans le monde.

On nous a dit qu’il s’agissait simplement d’un moyen d’apprendre aux enfants à réguler leurs émotions, de leur enseigner de bonnes compétences telles que l’empathie et la compassion. Bien sûr, nous voulons tous que nos enfants fassent preuve d’empathie et de compassion, mais sans avoir à fouiller en profondeur dans le SEL, on découvre un occultisme New Age, un extrémisme de gauche radical et une volonté de transformer fondamentalement le monde et l’humanité par le biais de l’éducation.

Commençons par la principale organisation qui milite en ce sens : elle est bien sûr financée par Bill Gates. Il s’agit donc de CASEL, Collaborative for Academic Social and Emotional Learning (collaboration pour l’apprentissage académique, social et émotionnel).

Ils ont un site web, très, très intéressant, parce qu’il contient une foule d’informations sur ce qu’ils font réellement et dont on ne s’attendrait jamais à ce qu’ils en parlent publiquement.

Les compétences SEL ont la particularité de pouvoir être exploitées en vue de former des citoyens du monde épris de justice et de favoriser la création de communautés scolaires et de districts inclusifs. Bien entendu, nous voulons tous être inclusifs au sens véritable du terme. Nous voulons tous que nos enfants fassent preuve d’empathie. Mais ce que nous ne voulons pas – ou du moins je ne souhaite pas à titre personnel – que mes enfants deviennent des citoyens du monde.

 

L’ONU très active au service de l’apprentissage social et émotionnel

Les Nations unies sont très actives dans ce domaine. Et lorsqu’on y parle de justice, c’est la même chose que lorsqu’ils parlent d’empathie et de compassion, ils donnent à ces notions un sens très, très différent du vôtre, de celui des gens normaux.

C’est ce que dit CASEL sur son site internet : on y définit l’apprentissage socio-émotionnel comme une partie intégrante de l’éducation et du développement humain.

Il s’agit du processus par lequel tous les adolescents et les jeunes adultes acquièrent et appliquent les connaissances, les compétences et les attitudes nécessaires pour développer des identités saines, gérer les émotions et atteindre des objectifs personnels et collectifs, ressentir et montrer de l’empathie pour les autres, et prendre des décisions responsables et bienveillantes. Ils affirment que CASEL crée une approche plus complète de l’éducation, qui conduira à une société plus équitable, plus juste et plus productive.

Tous ces mots à la mode, vous les avez évidemment entendus, justice sociale, équité… Le site propose ainsi une page entière, un webinaire : « Les compétences sociales et émotionnelles comme levier pour l’équité et la justice sociale. » Ils affirment que le programme SEL peut être utilisé pour soutenir les pratiques antiracistes. Aucun d’entre nous ne souhaite le racisme, mais si l’on se rend compte qu’ils définissent tout comme étant du racisme, y compris l’Amérique, la Constitution, le christianisme, etc., on comprend que nous nous trouvons ici face à un problème de très grande envergure.

Je ne parle pas seulement de CASEL, mais de l’extrême gauche en général. J’aimerais revenir sur certaines des origines de cette affaire, car c’est là que les choses deviennent vraiment intéressantes. Ce sont des choses que vous n’entendrez pas de la part des faux médias, mais que vous devez savoir. L’une des premières choses que j’ai faites quand j’ai commencé à creuser à propos de cette organisation, c’est de cliquer sur l’onglet Histoire de son site Internet.

 

L’Institut Fetzer prône une spiritualité universelle

Ils ont retiré cette information après que nous l’avons divulguée, mais elle précisait que CASEL et les termes « social emotional learning » (Compétences émotionnelles et sociales) sont nés d’une réunion organisée en 1994 par l’Institut Fetzer. Je ne savais pas ce qu’était l’Institut Fetzer lorsque je suis tombé sur ce document. Alors bien sûr, j’ai fait des recherches…

Il est très vite devenu évident que quelque chose ne tournait pas rond. Par exemple, les fondateurs du mouvement SEL étaient des adeptes du New Age. Le président-directeur général, David Slater déclarait ainsi : « Notre mission est d’aider à construire les fondations spirituelles d’un monde d’amour. » Ils affirment œuvrer à l’élaboration d’un récit transformateur et sacré pour l’humanité au 21ème siècle. Un livre sur le fondateur, John E. Fetzer and the Quest for the New Age (John E. Fetzer et la quête du Nouvel Age) révèle que Fetzer était en fait un disciple, un fervent admirateur d’Alice Bailey, fondatrice de la Lucifer Publishing Company, qui se disait en communication avec des entités spirituelles. Elle faisait appel à des « maîtres ascensionnés », comme le Tibétain Djwal Khul. L’un de ses livres s’intitulait Education in the New Age, écrit avec l’aide de ces maîtres « ascensionnés » – or il suffit de lire la Bible pour savoir qu’il s’agit de démons.

Fait intéressant, la boucle est bouclée, car l’homme [Robert Muller] qui a rédigé le programme d’éducation mondial de base de l’ONU, le World Core Curriculum à enseigner à tous les enfants dans toutes les écoles de tous les pays de la planète, a déclaré que ce programme était fondé sur les enseignements d’Alice Bailey et de l’enseignant tibétain Djwal Khul.

 

Les esprits derrière la spiritualité promue par l’ONU

Nous voyons donc tout de suite une profonde influence occulte du New Age dans tout cela, une influence vraiment démoniaque pour qui lit la Bible. Mais cela va encore plus loin.

La figure de proue du mouvement SEL, Linda Lantieri, est professeur d’éducation au Teachers College de l’Université de Columbia. Je vous propose ici quelques extraits de ses propos qui m’ont été envoyés par l’excellente Rhonda Thomas de « Truth in education » en Géorgie (Etats-Unis). Il faut suivre attentivement ce que dit Linda Lantieri sur l’origine de ses idées :

« J’aimerais vous proposer quelques accords directeurs qui, je l’espère, pourront être acceptés par tous au cours de l’heure et demie à venir. Ils me viennent de l’un de mes professeurs qui, soit dit en passant, s’est présenté à la table de mon conseil, comme il le fait toujours. Je déteste dire qu’elle est décédée, qu’elle est passée dans une autre dimension, parce que je communique régulièrement avec elle. »

Waouh ! Elle affirme donc qu’elle communique régulièrement avec une personne décédée, avec un mort venant d’une autre dimension ! Elle le dit dans une vidéo ! Juste quelques rappels rapides de la Bible : Le chapitre 19 du Lévitique, verset 26, dit : « Ne pratiquez ni la divination ni la sorcellerie. » Deutéronome, chapitre 18, verset 10 : « Qu’on ne trouve parmi vous personne qui pratique la divination ou la sorcellerie, qui interprète les présages ou qui se livre à la sorcellerie. » Galates, chapitre 5, versets 19 et 20, parle des œuvres de la chair, qui incluent évidemment la sorcellerie. Dieu condamne fermement la nécromancie, la pratique qui consiste à parler aux morts et, bien sûr, ce ne sont pas vraiment des morts : le plus souvent, sans doute, on parle à des démons, et non à des morts.

Linda Lantieri ne s’en rend probablement pas compte. Elle croit probablement sincèrement qu’elle parle à un mort qui lui a donné de bonnes idées sur la façon d’introduire la spiritualité dans les salles de classe.

Voici quelques autres extraits de la vidéo :

« Les cours comme celui-ci sont ancrés dans l’apprentissage social et émotionnel, ou SEL en abrégé. Il s’agit d’un style d’enseignement dont Linda Lantieri a été la pionnière : “Je n’imaginais pas que je vivrais assez longtemps pour voir de l’apprentissage social et émotionnel dans 92 % des écoles du pays.” »

92 % ! Mais c’est bien plus que cela. Ce genre d’enseignement envahit même les écoles chrétiennes. Ils y ajoutent quelques versets de la Bible et disent que c’est du SEL chrétien. Non, non, non ! On ne peut pas parler de SEL chrétien parce que vous le saupoudrez d’une citation hors contexte d’un psaume.

 

SEL : les compétences sociales et émotionnelles pour manipuler les jeunes

Le SEL, c’est un outil de manipulation des enfants. Et il est utilisé dans bien plus de 92 % des écoles. Comme nous le verrons, les Nations Unies injectent délibérément cette méthode dans les écoles du monde entier. ET il s’agit d’une pratique occulte : nous y reviendrons.

Voici un peu plus d’informations de l’Institut Fetzer sur la fierté qu’il éprouve à l’égard de son programme SEL.

« Je savais que si nous n’ajoutions pas la dimension spirituelle à ce travail, les enfants ne sauraient pas tout ce qu’ils ont besoin de savoir. Et l’Institut Fetzer est vraiment prêt à soutenir ce mouvement. L’Institut Fetzer a compris qu’une science fondamentale permettant d’établir la spiritualité naturelle de l’enfant présentait un schéma directeur pour la construction d’un nouveau système d’éducation. Les gens de Fetzer suivent la voie tracée. »

Ils sont donc en train de construire un nouveau système d’éducation. C’est ce qu’ils disent eux-mêmes. Et la spiritualité sera au cœur de ce système. Nous y reviendrons, car c’est ce que l’ONU demande depuis de nombreuses années. Dans l’Agenda 21, il est affirmé que l’éducation doit inclure la spiritualité.

Les gens normaux, les Américains qui lisent cela, se disent : « Bien, ils vont connaître un peu la Bible, ils vont apprendre les dix commandements. » Non, non, non ! C’est de l’occultisme, de la spiritualité New Age. C’est l’éducation du New Age. Ce qu’on trouve chez Alice Bailey, à la Lucifer Publishing Company. Et c’est absolument omniprésent dans le système éducatif, comme nous allons le voir.

Avant de revenir sur le SEL et cette manipulation des valeurs, je voudrais revenir brièvement sur l’organisation des Nations unies qui est responsable de la transformation de l’éducation et de l’introduction du SEL dans les écoles du monde entier. Il s’agit de l’Institut Mahatma Gandhi pour l’éducation de l’UNESCO – « pour la paix et le développement durable ». Il se vante, sur son site Internet, de « transformer l’éducation ».

Si vous parcourez ce site internet de l’ONU consacré à l’Institut Mahatma Gandhi d’éducation pour la paix et le développement durable, vous verrez qu’ils utilisent l’apprentissage social et émotionnel et l’injectent dans les écoles du monde entier. Ils expliquent qu’ils vont changer les cerveaux. Ils déclarent qu’ils vont donner aux enfants des cerveaux plus gentils ; apparemment, cela va rendre le monde plus « durable ». Ils vous disent même qu’ils s’en servent pour injecter de la spiritualité dans les salles de classe. J’aimerais vous montrer quelques vidéos qu’ils ont publiées. Il s’agit de l’Institut de l’UNESCO chargé d’injecter cette substance qui y donne un véritable aperçu de leur programme.

 

 

Il y a plusieurs choses à souligner. Tout d’abord, vous aurez remarqué les mots à la mode : empathie et compassion. Nous en avons parlé plus haut. Ils prennent des mots dont nous pensons connaître le sens – nous voulons tous que nos enfants fassent preuve d’empathie. Nous voulons tous que nos enfants fassent preuve de compassion. Mais ils leur donnent un sens tout à fait nouveau.

Ainsi, pour développer des compétences en matière d’empathie, il faut croire à l’avortement, au mariage homosexuel, à l’ouverture des frontières. Il faut croire en l’agenda de l’ONU. Même chose pour la compassion : il faut croire en ces propositions de valeurs très radicales dont l’ONU suggère que ce sont des compétences d’empathie et de compassion.

 

« Aveuglés par la foi »

Dans ce petit extrait, on voit aussi une pile de livres à la fin. L’un de ces livres s’intitule Blinded by Faith (Aveuglé par la foi). C’est intéressant ! Pourquoi donc avoir choisi « Aveuglé par la foi » parmi tous les livres qu’ils auraient pu mettre dans leur petite vidéo ?

 

manipulation ONU social émotionnel 1

 

Au Sinaï, lors du sommet de l’ONU sur le réchauffement climatique COP 27, l’ONU a déclaré que l’humanité avait besoin d’un nouveau système d’éthique. Elle doit prendre des décisions basées sur de nouveaux codes éthiques et moraux afin que nous puissions prétendument mieux prendre soin de la planète. Ils introduisent donc une nouvelle éthique. Ils introduisent une nouvelle spiritualité.

Ils s’en vantent ici même dans cette vidéo : les enfants vont apprendre à connaître leur empreinte carbone. C’est comme les maths dans la vie, non ? Il faut calculer son empreinte carbone. A la fin de cette petite vidéo, encore une fois, ils ne se donnent même pas la peine de cacher leur programme : « Changer les mentalités, contester les normes… »

 

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Ce n’est pas Alex Newman qui vous dit qu’ils essaient de changer les attitudes, les valeurs, les croyances et les comportements de vos enfants. Ce sont eux qui s’en vantent sur les réseaux sociaux. Et rien de tout cela ne devrait nous étonner, car l’ONU en parle depuis longtemps.

J’ai mentionné l’Agenda 21 tout à l’heure. Il s’agit en fait du plan centennal de l’ONU, du programme pour le 21e siècle, qui exige une réorientation profonde de toute la société humaine, telle que le monde n’en a jamais connue. Au chapitre 36, ils affirment que l’éducation sera au centre des préoccupations. Ils disent que l’éducation sera l’outil qui permettra d’y parvenir.

Ils affirment que l’éducation formelle et non formelle est indispensable pour modifier les attitudes des gens. Dans le même chapitre, ils affirment que l’éducation est essentielle pour donner aux enfants une conscience éthique, des valeurs et des attitudes, des compétences et des comportements compatibles avec le développement durable, et qu’elle doit aussi comprendre le développement spirituel, qu’il faudra intégrer dans toutes les disciplines.

Mais je voudrais revenir un instant sur l’Institut Mahatma Gandhi pour la paix et le développement durable de l’UNESCO, pour m’arrêter sur les trois personnes qui ont joué un rôle essentiel dans la création de cet institut.

Il y a d’abord Irina Bokova. Elle était haut dirigeant du parti communiste bulgare. Elle a été ministre des affaires étrangères par intérim de la dictature communiste bulgare qui a massacré des centaines de milliers de personnes en Bulgarie, sur une population de 10 millions d’habitants. C’est sous sa direction que l’UNESCO a créé cet institut chargé d’introduire l’apprentissage social et émotionnel, cette spiritualité New Age pour les écoles et les universités.

Nous avons également Roza Otunbayeva, ancienne dirigeante de la République soviétique communiste du Kirghizistan. Elle était également présidente de la commission nationale soviétique de l’UNESCO. Cette femme a un parcours assez impressionnant. Elle a fait partie du mouvement communiste pendant longtemps. C’était donc un choix très intéressant de l’avoir comme dirigeante de l’Institut Mahatma Gandhi pour la paix et le développement durable dans l’éducation.

Il y a aussi toute une série de païens. Et l’un d’entre eux en particulier sur lequel je voudrais m’attarder est le Dr. Karan Singh, aujourd’hui disparu. Karan Singh était un homme politique indien, défenseur de la spiritualité globale. Il a même été président du conseil d’administration de l’UNESCO. Bien entendu, ses liens avec l’occultisme, le mouvement pour une spiritualité mondiale unique et, accessoirement, les programmes barbares de contrôle de la population mis en place par les totalitaristes ne sont pas difficiles à trouver.

Tout d’abord, il a été co-président de la commission mondiale sur la conscience globale et la spiritualité. Il s’agit donc, bien sûr, d’un front mondial pour le mouvement du New Age. Pendant qu’il était à ce poste, il a en fait servi aux côtés du secrétaire général adjoint des Nations unies, Robert Muller, le père de l’éducation mondiale, l’homme qui a créé le World Core Curriculum, celui qui a déclaré que le World Core Curriculum était fondé sur les enseignements d’Alice Bailey, occultiste New Age et fondatrice de la Lucifer Publishing Company.

Voilà l’homme qu’ils ont choisi pour diriger ce projet. Avant de diriger le MGIEP de l’UNESCO, Singh est intervenu lors de la 12e conférence « Confluence de l’humanité, du pouvoir et de la spiritualité », dont le logo montre qu’à travers les différentes représentations de l’humanité, elle la sert en lui faisant prendre conscience que le but ultime de tous les êtres humains est le chemin de l’illumination. Comparez cela avec le Westminster Shorter Catechism, qui dit que la fin principale de l’homme est de glorifier Dieu et de jouir de lui pour toujours.

Singh a été très ouvert sur ses opinions. Il a déclaré lors d’une interview que, selon lui, l’importance de ces conférences mondiales sur la spiritualité réside dans le fait que nous réalisons ainsi l’unité essentielle de toutes les religions. Autre fait moins amusant au sujet du Dr Singh : il était ministre du planning familial pendant les campagnes brutales de stérilisation forcée en Inde sous le premier ministre indien, Indira Gandhi. En fait, ils ont traqué des millions d’Indiens pauvres, de basse caste et les ont stérilisés de force. Pour donner un ordre d’idée, cela représente environ 15 fois plus de personnes que ce que le régime nazi a stérilisé en Allemagne. Beaucoup de victimes sont mortes à cause de ces procédures.

 

Irina Bokova, UNESCO, communisme et SEL

Mais revenons à Irina Bokova qui a dirigé l’UNESCO pendant deux mandats. Heureusement, Donald Trump a compris et nous a retirés de l’UNESCO… Elle a publié un communiqué de presse sur la décennie de l’éducation pour le développement durable. Elle a déclaré que la Décennie des Nations unies pour l’éducation en vue du développement durable, lancée en 2005 sous l’égide de l’UNESCO, avait pour objectif explicite d’inculquer à chaque être humain les connaissances, les compétences, les attitudes et les valeurs nécessaires à la construction d’un avenir durable. Elle affirmait que ce qu’il faut maintenant, c’est un mouvement mondial où chaque élève, dans chaque pays, apprend le développement durable auprès d’enseignants bien formés et dotés des programmes et des ressources appropriés.

Voici ce qu’elle a déclaré en 2015 :

« En 1990, le monde s’est réuni à Jomtien, en Thaïlande. En 2000, il s’est réuni à Dakar, au Sénégal, et a adopté six objectifs d’éducation pour tous. Aujourd’hui, le monde se réunit à Incheon, en République de Corée, pour renouveler cette vision et tracer une nouvelle voie, une nouvelle voie qui s’appuie sur l’éducation en tant que droit de l’homme, essentiel à la dignité humaine : une nouvelle route pour l’humanité, une nouvelle éducation. »

C’est exactement ce qu’ils font. Ils poursuivent une nouvelle route pour l’humanité.

Au cœur de cette démarche se trouve l’attribution de nouvelles valeurs à l’ensemble de l’humanité. Dans les années 1960, aux Etats-Unis, ils ont commencé à mettre en place ce qu’ils appelaient la clarification des valeurs, selon les recommandations de l’ONU, où les enseignants devaient placer les enfants dans des situations morales impossibles où il fallait déterminer qui tuer pour préserver la vie des autres.

Par exemple, se trouver à onze personnes devant un radeau de sauvetage pouvant seulement accueillir 10 personnes. Alors les enfants devaient discuter pour savoir qui assassiner pour assurer que les dix restants puissent survivre. La réponse évidente aurait dû être : pourquoi ne pas choisir de ne tuer personne ? Dieu a dit que le meurtre est un mal. Pourquoi ne pas nager à tour de rôle le long du radeau ? Mais les enfants décidaient plutôt qu’il fallait se débarrasser de quelqu’un, et identifier celui qui avait le moins de valeur, tout cela au nom du plus grand bien. A la fin, comme l’ONU l’avait parfaitement compris, et comme les créateurs de cette chose l’avaient parfaitement compris, les enfants allaient conclure que la moralité et l’éthique sont relatives : il n’y a pas de bien et de mal, il n’est pas toujours mauvais de tuer et d’assassiner. Il peut y avoir un moment et un lieu où tuer quelqu’un, assassiner quelqu’un est conforme au plus grand bien afin que nous puissions éviter de dépasser la capacité de charge de notre radeau de sauvetage ou de notre planète.

Telle était l’ancienne version… Et ils avaient l’habitude de se vanter en disant qu’en 15 minutes, ils pouvaient défaire tout ce que les parents avaient essayé de faire en 15 ans.

Depuis cette époque, ils sont devenus très audacieux et ils en parlent. Je voudrais vous montrer le Dr Shirley McCoon. Elle a été engagée sous George H. W. Bush pour aider à mettre en place l’éducation nationale aux Etats-Unis. En 1989, elle a pris la parole lors d’une conférence des gouverneurs et leur a expliqué ce qui se tramait.

Ecoutez :

« Un trop grand nombre de nos efforts ont été concentrés sur la question de trouver une solution à court terme, de réparer ces écoles et de s’en occuper. Ce qui se passe aujourd’hui en Amérique, au Kansas et dans les Grandes Plaines n’est pas simplement le fruit du hasard des vents du changement ordinaires. Il s’agit d’une transformation totale de notre société. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère. »

Voyons le rôle des écoles dans ce processus. C’est exactement ce que disent les gens du SEL, les gens de l’ONU et Irina Bokova.

« L’autre fonction de l’école, qui semble paradoxale mais qui, en un sens, ne l’est pas vraiment, est le fait que nous devons préparer les élèves non pas à la société d’aujourd’hui, mais à celle qui existera dans 20, 30, 40, 50 ans. Nous devons donc anticiper l’avenir, puis revenir en arrière et chercher ce que nous devons faire aujourd’hui. C’est ce qu’on appelle la socialisation anticipative ou la fonction de changement social des écoles. »

Seriez-vous surpris si je vous disais que le Dr Shirley McCoon communiquait également avec des entités spirituelles ? Elle le dit elle-même. Elle a publié un livre : The Light Shall Set You Free (La lumière vous rendra libres). Elle l’a publié avec le Dr Norma Milanovich. Il y est dit que ces pages contiennent certains des plus grands enseignements spirituels des écoles des mystères de l’Antiquité.

Ils disent que les Maîtres Ascensionnés décrètent que le temps est venu pour chacun d’apprendre ces enseignements et de partager la responsabilité de transformer la vie et le monde. L’admission dans la cinquième dimension exige cela de tous. Plus exactement, c’est ce que leurs démons leur disent. Ils utilisent ces outils pour changer les attitudes, les valeurs, les mentalités et les croyances de vos enfants.

Cela se passe dans votre école locale. Cela se passe dans les classes près de chez vous. Ils le font depuis très longtemps dans ce pays. Ils le font aujourd’hui dans le monde entier. Les Nations unies ont d’ailleurs inscrit ce principe à plusieurs reprises dans leurs propres accords internationaux. Vous avez entendu Irina Bokova mentionner Jomtien. Les Nations unies se sont réunies à Jomtien et ont élaboré la déclaration de la conférence mondiale des Nations unies sur l’éducation pour tous.

Elles ont déclaré que les besoins éducatifs fondamentaux et les contenus éducatifs fondamentaux nécessaires à tous les êtres humains relèvent d’une responsabilité commune et universelle. Ainsi, tous les enfants doivent apprendre selon les mêmes normes d’apprentissage. Dix ans plus tard, ils se sont réunis à Dakar. Vous avez entendu Mme Bokova parler du Cadre d’action de Dakar, « L’éducation pour tous, tenir nos engagements collectifs ».

Il y est dit que les gouvernements doivent mettre en œuvre des stratégies qui reconnaissent la nécessité de changer les attitudes, les valeurs et les pratiques. Ils ont dit qu’il fallait changer les attitudes, les valeurs et les comportements. Ils vous disent la même chose aujourd’hui dans le Programme 2030, le plan directeur de l’ONU pour l’humanité. L’objectif numéro 4 stipule que d’ici à 2030, tous les apprenants doivent acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour promouvoir le développement durable, y compris, entre autres, l’éducation au développement durable, les modes de vie durables et l’éducation aux droits de l’homme, l’égalité de genre, c’est-à-dire le féminisme. Leurs droits de l’homme signifient exactement le contraire de ce que les Américains entendent par « droits de l’homme », à savoir des droits donnés par Dieu. Pour eux, nous avons besoin d’une citoyenneté mondiale.

Tout cela figure expressément dans le texte du Programme 2030. Le SEL, l’UNESCO, tout cela vise à transformer fondamentalement les esprits, les valeurs et les attitudes de nos enfants dans le but de transformer fondamentalement la planète Terre. Et si vous êtes chrétiens, si vous croyez que la Bible est la parole de Dieu, vos attitudes, vos valeurs sont celles qui sont visées comme des cibles.

Il nous faut le comprendre, car la première étape de la lutte est le diagnostic du problème. Tout cela doit cesser. Parents, protégez vos enfants.

 

Alex Newman

 

Traduction par Jeanne Smits