Le fondateur de WikiLeaks ne peut toujours pas quitter l’ambassade d’Equateur où il a trouvé asile à Londres alors qu’il est recherche pour « viol » – une poursuite que beaucoup voient comme un cache-sexe des représailles exercées à l’encontre du « fuiteur » d’informations confidentielles des Etats. En fait de viol, il lui est reproché d’avoir eu des rapports sans préservatif avec deux femmes qui avaient consenti aux relations, mais « protégées ».