Un nouveau produit, le 2-PMAP, réduirait de moitié la présence des protéines à l’origine de la formation de plaques amyloïdes que l’on retrouve dans le cerveau des patients atteints de la maladie d’Alzheimer.
Les chercheurs américains qui ont expérimenté ce médicament sur les souris espèrent l’étendre à l’homme pour développer un traitement préventif à une échéance raisonnable.