Faute d’une majorité à la Chambre des représentants, Barak Obama impose par décrets sa politique de lutte contre le « réchauffement global » qui comporte notamment une réduction draconienne des émissions de dioxyde de carbone, afin d’atteindre en 2030 un niveau inférieur de 30% à celui de 2005.
Mais il ne se fait pas d’illusion sur cette politique, et il a raison.
En 2008 il a carrément reconnu : « Si l’on suit mon plan, les tarifs d’électricité vont nécessairement grimper en flèche ». Il était bon prophète. En outre, la Chambre de commerce américaine a estimé à cinquante milliards de dollars par an la baisse du PIB qui lui est liée, avec pour conséquence la perte de deux cent mille emplois.