Le bureau local des Nations unies a manifesté sa désapprobation alors que la Cour supérieure de justice a retiré, par « mesure de prudence », ces éléments du programme obligatoire, à la demande de l’Association des parents en action, au motif de leur droit de donner une éducation conforme à leurs convictions morales et religieuses.
Le communiqué de l’ONU évoque « l’inquiétude » de cette dernière devant la disparation de la promotion de « l’égalité de genre » dans les programmes qui affecterait « plus de 7 millions de garçons, de filles et d’adolescents » dans leur « droit à une éducation de qualité ».
L’« égalité de genre » est le faux nez de l’idéologie du genre : sous prétexte d’affirmer les droits égaux des hommes et des femmes, elle consiste à promouvoir la confusion des genres en combattant les « stéréotypes » et la complémentarité des sexes.