Malgré les troubles que connaissait son pays, la petite ivoirienne Elisabeth, âgée de 13 ans, vivait heureuse jusqu’à l’arrivée les troupes de « maintien de la paix » des Nations Unies, défenseurs des « droits de l’Homme » autoproclamés … Ces dernières, coiffées de leurs casques bleus ont kidnappé la petite fille avant de la violer comme elle le racontait à la BBC en 2008 : « J’ai essayé de m’échapper mais ils étaient dix et je ne pouvais rien faire » confiait-elle alors.
Aucune sanction ne fut prise contre les troupes de l’ONU.
Des milliers d’enfants violés par les troupes de l’ONU
Pourtant, Elisabeth n’est qu’un enfant parmi tant d’autres à avoir subi ces horreurs, principalement en Afrique mais aussi dans le monde entier.
Un sondage réalisé dans la ville ivoirienne de Toulepleu par l’organisation Save The Children a révélé que 8 jeunes filles mineures sur 10 confiaient avoir été régulièrement violées par des soldats de l’ONU…
Des histoires abominables que l’on retrouve dans tous les pays occupés par les soldats « de la paix »… Sans qu’aucune sanction ne soit prise.
Plus récemment encore, des troupes de l’ONU ont été attaquées après que certains d’entre elles se soient filmées en train de violer sauvagement un jeune garçon. Une pratique largement et souvent dénoncée dans le pays.
Aucune mesure n’a été prise.
En plus de ces viols et agressions sexuelles sur des jeunes enfants, les forces de l’ONU massacrent également des innocents.
Intervention totalitaire dans les affaires intérieures
En 2011, en Côte d’Ivoire, les forces de l’ONU renversèrent le président chrétien en bombardant ses forces et en soutenant sur le terrain des milices islamistes pour mettre en place un dictateur musulman, banquier central, qui interdit immédiatement toute presse. Des milliers de chrétiens innocents ont été massacrés par les troupes de l’ONU. La raison de l’intervention ? L’ONU a jugé cette élection illégitime alors même que la Cour suprême nationale avait validé l’élection du président chrétien.
Les mêmes forces ont désarmé les civils au Rwanda en 1994, dont beaucoup ont ensuite été exterminés par leur gouvernement…
La présence de ces troupes se fait pourtant au nom des droits de l’Homme, que nul de saurait remettre en cause.
Mais les « droits de l’Homme » prônés par l’ONU sont un moyen d’attaquer les Etats-Unis et de nombreux autres pays « occidentaux » tout en fermant les yeux sur des pays qui ne les respectent pas.
L’Arabie Saoudite n’est pas inquiétée quand elle condamne pour conversion au christianisme. Au même moment, le système judiciaire américain est vivement critiqué par cette même ONU lorsqu’il décide de ne pas poursuivre le policier qui a tué en légitime défense Michael Brown.
Promouvoir des « droits de l’Homme » pour asseoir son totalitarisme
L’ONU poursuit quatre buts en prétendant défendre les Droits de l’Homme tout en les piétinant : intervenir dans le système juridique des pays souverains comme elle l’a récemment fait en instrumentalisant la mort de plusieurs Noirs aux Etats-Unis ; saper le droit à l’autodéfense des citoyens en attaquant régulièrement le droit de porter des armes ; passer outre le respect des lois locales, étatiques ou nationales en envoyant par exemple « observateurs » pour superviser les élections américaines comme elle le fit en 2012 ; et enfin étendre son champ de compétence comme elle le fait en enquêtant sur des soldats américains pour les juger elle-même, quand les Etats-Unis n’ont jamais ratifié le traité instituant la Cour internationale de justice.
L’histoire nous apprend qu’un pouvoir sans contre-pouvoir dérive inévitablement vers totalitaire. L’ONU serait-elle composée de saints ?