Panama Papers : Obama et les mondialistes tuent le droit au respect de la vie privée

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Profitant du brouhaha autour des Panama Papers monté par les gouvernements et les médias, les organisations mondialistes et gouvernementales ont annoncé la semaine dernière une série de nouvelles mesures et d’accords. Les décisions prises en accord avec Barack Obama et sous la houlette des mondialistes apparaissent, selon The New American, comme un « complot » contre ce qui reste de droits privés financiers et personnels, pour parvenir à l’imposition d’un régime de taxation mondiale de l’humanité.
 
Comme l’avaient prédit quelques médias « non-alignés », le scandale qui a éclaté après la fuite de documents légaux du cabinet juridique panaméen Mossack Fonseca a fait l’objet d’une exploitation intense par les mondialistes. Il s’agit pour eux, après avoir instauré un programme permettant de partager vos données avec tous les gouvernements du monde, même les moins respectueux des libertés, de tuer ce qui reste du droit inaliénable à la sphère privée, avec une avalanche de décrets, d’accords, etc. Ils ont pour postulat qu’on est coupable tant que son innocence n’est pas établie.
 

Sous couvert de lutter contre l’évasion fiscale, les Panama Papers sont exploités contre la vie privée

 
En surface au moins, on retrouve l’administration Obama, l’UE, le G20, l’ONU et l’OCDE à la manœuvre. Il faudra la coopération des Etats, mais ceux-ci semblent faire peu de cas des droits privés. Une coalition des ministres des Finances d’Europe a annoncé une mesure qui se veut « un coup de marteau contre l’évasion fiscale », bien qu’ils n’aient lancé aucune poursuite contre qui que ce soit depuis la révélation des Panama Papers, et que l’UE dise croire au respect de la sphère privée.
 
Dans une lettre au G20, des représentants des gouvernements parmi lesquels le Kremlin, le régime communiste chinois ou les leaders de l’UE parlent « d’avancée significative vers l’amélioration de la transparence de l’information sur la propriété personnelle et le retrait du voile du secret sous lequel agissent les criminels », comme s’il était justifié de violer les droits de chacun pour attraper une poignée de fraudeurs – dont la plupart se trouvent au sein des gouvernements !
 
Par le biais de la « transparence sur les bénéficiaires effectifs », bureaucrates et politiques entendent rendre publiques les informations qui n’ont pourtant pas à être divulguées à n’importe quelle administration. Il existe des principes fondamentaux qui font que l’accès au domaine privé d’une personne ne peut se faire sans un mandat qui le justifie.
 

Obama et la gauche mondialiste au service d’un complot contre les droits privés ?

 
Les voix mondialistes font également un amalgame entre évasion fiscale et évitement fiscal ; la première est un délit, alors que le deuxième relève du bon sens et que chacun y recourt lorsqu’il peut garder hors de portée du fisc de l’argent qu’il n’est pas légalement habilité à confisquer. « Les fraudeurs continuent de trouver des façons d’exploiter les failles du système actuel » fulminent les responsables de l’UE dans leur lettre au G20, ajoutant : « Comme pour l’évasion fiscale, cela appelle une réponse globale. »
 
Quant à Obama, il s’est passé de l’avis du Congrès pour ériger de nombreuses mesures restrictives et permettre de ponctionner toujours davantage les entreprises sur des capitaux qui n’étaient normalement pas attribuables au fisc, les privant de ressources nécessaires à leur croissance.
 
Rappelons enfin que l’équipe journalistique proche de l’extrême gauche qui a orchestré les Panama Papers a été mise en place par Soros et la dynastie Rockefeller. Pour le Daily Bell, « La vitesse et la solennité avec lesquelles ces annonces sont faites amènent à croire que tout cela a été planifié, même si on veut nous faire croire l’inverse… Il devient de plus en plus difficile de nier qu’un substrat de mondialisme organisé existe… »