Plus d’une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement sont attendus pour l’ouverture, le 30 novembre, du sommet sur le climat – qui coïncidera aussi avec une fermeture des frontières pour faciliter la protection des dits. Il a été invité début novembre par François Hollande
« Le premier jour sera réservé (…) aux chefs d’Etat et de gouvernement, nous avons déjà plus de 100 réponses positives et vont intervenir le président des Etats-Unis, le président de la Chine, le président de la Russie, le Premier ministre de l’Inde, bien sûr le secrétaire général des Nations unies, le président français et beaucoup d’autres », a déclaré Laurent Fabius, futur président de la COP21 à la presse lors d’une visite du chantier au Bourget.
Vladimir Poutine ne cache pas son climatoscepticisme, lui qui voit dans le discours sur le climat une « affaire géostratégique » selon les médias alternatifs, chose confirmée par l’analyste politique Stanislav Belkovsky, critique à l’égard du président russe.
On va pouvoir juger sur pièces.