Le groupe d’activistes féminines était accusé d’avoir, lors d’une action contre Notre-Dame de Paris en février 20013, dégradé une des cloches exposées dans la nef de la cathédrale. Dans ce procès des Femen, le simple examen des réquisitoires permet d’affirmer que la république exerce officiellement une justice antichrétienne.
Le juge appréciera les faits. Mais le ministère public a choisi son camp, en ne demandant, pour un blasphème et pour une dégradation, que mille cinq cents euros d’amende. A peine trois fois plus que ce qui menace le service de sécurité pour avoir accompli son devoir en expulsant les perturbatrices.
Procès des Femen : le choix de la république
A comparer avec l’emprisonnement du jeune veilleur Bernard-Buss.
Ou à l’hommen coupable d’avoir étendu une banderole demandant la démission de François Hollande à Roland Garros l’an dernier, contre qui six mois fermes avaient été requis.
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