Après plusieurs décennies de gel des financements, la Banque mondiale a annoncé par la voie de son président, Ajay Banga, qu’elle va à nouveau soutenir des projets de production d’énergie nucléaire.
Banga a déclaré : « Nous soutiendrons les efforts visant à prolonger la durée de vie des réacteurs existants dans les pays qui en disposent déjà, et nous contribuerons à soutenir les mises à niveau du réseau et des infrastructures connexes. »
Ce revirement s’est opéré notamment sous la pression des Etats-Unis, principal actionnaire de l’organisme, et très favorable au nucléaire civil, source d’énergie propre, fiable et sécurisée.