C’est ce qu’a indiqué Irakli Beridze, conseiller stratégique pour l’Institut inter-régional pour la recherche sur les crimes et la justice de l’ONU, dans un entretien avec le quotidien néerlandais De Telegraaf à la veille de l’ouverture d’un nouveau machin de l’ONU à La Haye.
 
Le tout nouveau Centre for Artificial Intelligence and Robotics a pour mission d’évaluer les menaces éventuelles, symbolisée par le risque de la perte de 30 % des emplois au Royaume-Uni mis en évidence par une étude récente. La question des armes de guerre autonomes est aussi posée.
 
Mais dormez, braves gens, l’ONU est là qui prend les choses en main. D’une part, le nouveau Centre cherchera comment utiliser les robots et l’intelligence artificielle pour faire avancer ses propres objectifs du développement durable (ODD) ; de l’autre, il mettra en place des projets en réseau impliquant le monde des affaires, les universités, la société civile et les gouvernements pour gérer tout cela « sans bannir ni freiner les nouvelles technologies ». Tant que la solution est globaliste…