Dans une tribune récemment publiée, le représentant permanent du Saint-Siège aux Nations unies à Genève, Mgr Silvano Tomasi, a exprimé la préoccupation du Saint-Siège à l’égard des « personnes les plus pauvres des pays les plus vulnérables », qui paieront « le plus lourd tribut » des conséquences du changement climatique alors qu’elles n’ont « presque aucun rôle » dans ce changement.
Il a appelé la communauté internationale à « s’engager à réduire les émissions de dioxyde de carbone à un niveau minimum » et à « financer les mesures d’adaptation aux impacts du changement climatique nécessaires aux peuples vulnérables ».
Problème : aucune hausse de température n’a été enregistrée depuis presque 20 ans, et l’existence d’un « réchauffement climatique » est largement remise en cause par de nombreux scientifiques.