Le scandale des esclaves sexuelles mineures du milliardaire Jeffrey Epstein n’en finit pas de toucher des « grands » de ce monde…
L’une de ces jeunes femmes, Virginia Roberts, affirme avoir été obligée de coucher avec le prince Andrew alors qu’elle était mineure et faisait partie de jeunes filles proposées à ses amis par Epstein dans son île paradisiaque des Caraïbes. Mais les accusations ne s’arrêtent pas là : c’est désormais le nom de Bill Clinton, également proche d’Epstein, qui est évoqué par les médias.
L’autobiographie d’une esclave sexuelle va faire du bruit
Virginia Roberts, qui affirme avoir été pendant plusieurs années l’esclave sexuelle de l’homme d’affaires Jeffrey Epstein, prévoit de publier son autobiographie cette année, et prévient malgré les quatre démentis de la famille royale anglaise : « Je vais nommer chaque type qui mérite d’être nommé lorsque j’irai au tribunal. »
L’ancienne « masseuse itinérante » de Jeffrey, condamné en 2008 à 18 mois de prison pour exploitation sexuelle de mineures et inscrit au fichier des délinquants sexuels, a en effet porté plainte auprès de la justice de Floride.
Dans les documents enregistrés par un tribunal de Palm Beach, le nom du prince Andrew, duc de York, est cité en ces termes : « Epstein a obligé Jane Doe 3 [c’est le nom choisi dans la plainte pour préserver l’anonymat de Roberts] à avoir des relations sexuelles avec un membre de la famille royale britannique, le prince Andrew. Epstein a ordonné à Jane Doe 3 de donner au prince tout ce qu’il demanderait et a exigé de Jane Doe 3 qu’elle lui relate par le menu cet abus sexuel. »
Les politiques touchés par le scandale : Bill Clinton en compagnie du prince Andrew
De son côté Bill Clinton – et donc indirectement Hillary Clinton, qui se prépare pour la prochaine élection présidentielle – est identifié dans une plainte visant Epstein comme ayant eu des liens étroits avec lui jusqu’à son arrestation en 2008. Cette plainte émane de ses anciens conseils juridiques Scott Rothstein et Bradley Edwards.
Le battage médiatique fournit une nouvelle occasion de mettre les « élites » au pas au profit d’institutions qui sembleraient plus vertueuses, qu’elles soient nationales ou internationales, voire discrètes.
En discréditant le monde politique, on favorise ainsi une « régulation » supranationale.
Une affaire bien étonnante qui touche directement la maçonnerie anglaise et l’establishment américain…